DASSAULT MD 450 OURAGAN |
Historique Premier avion à réaction opérationnel réalisé par la France, le Dassault MD.450 Ouragan fut construit en dehors de tout marché. Son prototype prit l'air pour la première fois le 28 février 1949 sans armement ni habitacle pressurisé. Trois machines expérimentales et deux exemplaires de présérie furent réalisés avant la signature d'un contrat initial de 150 exemplaires porté par la suite à 350. Le premier Ouragan de série quitta te sol le 5 décembre 1951, le dernier sortant des chaînes de montage en 1954. Les livraisons à l'armée de l'Air débutèrent en 1952, et 75 Ouragan achetés par la force aérienne israélienne (24 neufs et 51 provenant de l'armée de l'Air) prirent part aux combats menés contre les aviations arabes. A partir de 1953, l'Inde reçut 104 Ouragan, désignés localement Toofani. |
Données techniques Moteur : 1 réacteur Hispano-Suiza Nene 104B de 2270 kgp Vitesse maximale à 12000 m : 830 km/h Distance franchissable : 900 km Envergure : 13,16 m Longueur : 10,74 m Hauteur : 4,14 m Armement : 4 canons de 20 mm, bombes, roquettes, bidons de napalm Premier vol : 28 février 1949 Production : 350 appareils
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Reproduction Maquette HELLER, réf. 80201 Envergure : 188 mm soit 13,54 m en réel Longueur : 149 mm soit 10,73 m en réel
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NORD 2501 Noratlas |
Historique A la fin de la WW2, l'Armée de l'Air demanda aux constructeurs aéronautiques de l'époque de préparer la mise au point d'un avion de transport pour remplacer la flotte très disversifiée et veillissante de l'après-guerre. En 1947, la Direction Technique Industrielle émit un cahier des charges pour l'étude d'un avion de moyen tonnage et de conception nouvelle permettant une grande souplesse d'utilisation. La Société Nationale de Construction Aéronautique du Nord y répondirent avec le Nord 2500, formule d'avion à ailes hautes, à fuselage central ouvrant vers l'arrière et à deux poutres supportant les empennages, bimoteur équipé de Gnôme-et-Rhône 14R de 1 600 cv de puissance au décollage, entrainant des hélices tripales à pas variable.
Un premier prototype effectua son premier vol le 10 septembre 1949. Il fut décidé d'équiper le deuxième prototype avec des moteurs anglais Bristol Hercules type 739, de 2040 cv au décollage, faisant tourner une hélice quadripale Rotol. Il prit alors la désignation Nord 2501. Cet appareil s'écrasa le 6 juillet 1952 à Lyon-Bron, tuant ses cinq occupants dont la célèbre aviatrice Maryse Bastié. Le choix final se porta sur le N.2501. La première commande de série fut notifiée le 10 juillet 1951 et le premier avion de série vola le 24 novembre 1952. Ce n'est qu'au début de 1953 que le Nord 2501 fut officiellement baptisé Noratlas.
Le Noratlas fut adopté comme avion standard par les armées de l'Air française, Ouest allemande et Israëlienne. Il était capable, mis en oeuvre par 4 ou 5 hommes, de transporter 7900 kg de fret, ou 45 hommes de troupe, 35 parachutistes ou 18 civières. En octobre 1961, date de l'arrêt de la production, 425 Noratlas avaient été produits. Evalué en Indochine puis, employé intensivement en Algérie cet appareil avait rempli toutes les facettes des missions de transport. Le dernier vol du Nord 2501 au sein de l'armée de l'Air française eut lieu en 1987. |
Données techniques Moteur : 2 Snecma Hercules 7 en étoile de 2040 ch Vitesse maximale : 440 km/h Distance franchissable : 3000 km Plafond : 7500 m Masse au décollage : 21000 kg Envergure : 32,50 m Longueur : 21,95 m Premier vol : 10 septembre 1949 Production : 425 appareils
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Reproduction Maquette HELLER, réf. 80374 Envergure : 454 mm soit 32,69 m en réel Longueur : 305 mm soit 21,96 m en réel
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FOUGA CM 170 Magister |
Historique En 1952 le Magister est construit à Aire-sur-Adour où sont basés les ateliers de Fouga. Le 23 juillet, le premier prototype s'envole. Cet avion d'entrainement se veut le plus proche possible des appareils opérationnels. Le premier Magister de série décolera le 20 fevrier 1956, alors que Salon de Provence recoit son premier Fouga le 28 mai.
Les qualités du Fouga Magister lui ouvre des carrieres très diverses. En particulier, une version navalisée, le "Zéphyr", verra le jour dès 1956. La Patrouille de France est dotée de Magisters en 1964 remplaçant ainsi ces "Mystères IV ". Les contraintes extrémes que subissent les appareils pendant les évolutions causèrent quelques soucis.
Le Magister connut une carrière internationale car il fut utilisé par : l'Israel, la RFA, la Finlande, l'Algérie, l'Autriche, le Bangladesh, la Belgique, le Brésil, le Cameroun, le Guatemala, l'Irlande, la République Khmer, le Liban, la Libye, le Maroc, le Salvador, le Togo, et l'Ouganda. |
Données techniques Moteur : 2 réacteurs Turboméca IIA de 400 kgp Vitesse maximale : 715 km/h Distance franchissable : 925 km Plafond : 11000 m Masse au décollage : 3200 kg Envergure : 12,15 m Longueur : 10,06 m Armement : installation possible de mitrailleuses, roquettes et missiles Premier vol : juillet 1952 Production : 916 appareils
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Reproduction Maquette HELLER, réf. 80220 Envergure : 170 mm soit 12,24 m en réel Longueur : 140 mm soit 10,08 m en réel
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DASSAULT Mystère IV A |
Historique Alors même que la série de Mystère II était en cours de production, la nouvelle génération Mystère IV était essayée en vol. Le Mystère II était à la base un MD.450 Ouragan à aile en flèche, alors que le Mystère IV (connu à l'origine sous la désignation de Super-Mystère) était un avion entièrement nouveau. Il s'agissait au départ d'un prototype expérimental, ne devant pas être produit en série, plus évolué que le chasseur Mystère II et pouvant atteindre Mach 1. L'appareil, appelé MD.454 Mystère IV 01, était uniquement destiné à tester une nouvelle aile plus fine.
Le prototype vola en septembre 1952 et les premiers essais révélèrent un appareil très réussi, de classe internationale, en dépit d'une légère sous motorisation. Le Mystère IVA se caractérisait par une aile moins épaisse à la flèche plus marquée, un fuselage allongé de section ovoïde, un empennage redessiné et un réacteur Rolls-Royce Tay produit par Hispano-Suiza.
En décembre 1952, une mission américaine, dont le célèbre pilote Chuck Yeager fait partie, était venu essayer les avions de combat français afin de choisir un modèle dont le financement serait assuré par l'OTAN. Le Mystère IV A fut retenu. En avril 1953, conséquence de la décision américaine, le secrétariat d'Etat à l'Air commanda 225 appareils financés par le Plan d'Assistance Militaire de l'OTAN. Le Mystère IV A s'avèra une grande réussite. Puissamment armé, fiable, robuste et manoeuvrant, il était facile à piloter.
Il fut pris en compte à 242 exemplaires de série pour l'Armée de l'Air. Au début des années soixante avec l'arrivée du Mirage III, il avait perdu beaucoup de sa valeur opérationnelle. Il restait cependant un excellent avion de transition pour les pilotes formés sur T-33 ou Fouga Magister. Il fut employé dans ce rôle jusqu'en 1982 avant d'être remplacé par le Dassault Breguet Alpha Jet.
Quelques-uns servirent à l'entraînement opérationnel jusqu'en 1982. Comme l'Ouragan avant lui, le Mystère IVA équipa plusieurs années durant la Patrouille de France.
Le Mystère IV A fut adopté par l'Inde et l'Israël. Des exemplaires livrés à Israël assurèrent à cet état la maîtrise du ciel durant la campagne de Suez, en octobre 1956, face au célèbre MIG 15 Soviétique. Ils participèrent également à la guerre des six jours en 1967. L'Inde acheta 110 Mystère IVA, ils prirent part aux conflits avec le Pakistan en 1965 et 1971 en tant qu'avion d'attaque au sol.
Une version améliorée, le Mystère IVB (abandonné au profit du Super Mystère B-2), fut le premier avion français à dépasser le mur du son en vol horizontal, en mars 1955. |
Données techniques Moteur : 1 réacteur Hispano-Suiza Verdon 350 fournissant 3500 kgp Vitesse maximale à 0 m : 1120 km/h Distance franchissable : 915 km Plafond : 15000 m Masse à vide : 5870 kg Masse au décollage : 9500 kg Envergure : 11,12 m Longueur : 12,85 m Armement : 2 canons DEFA de 20 mm; un magasin de roquettes sous le fuselage; nombreuses possibilités de charges sous voilure Premier vol : 28 septembre 1952 Production : 480 appareils
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Reproduction Maquette MATCHBOX, réf. PK-47 Envergure : 154 mm soit 11,09 m en réel Longueur : 178 mm soit 12,82 m en réel
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DASSAULT Super Mystère B2 |
Historique Développé par Dassault à partir du Mystère IVA, le Super Mystère malgré cet héritage n'en resta pas moins un appareil véritablement nouveau. Dassault conçut un premier prototype d'appareil supersonique baptisé Super Mystère B1. Le B1 était équipé d'un turboréacteur Rolls-Royce Avon RA 7R et vola pour la première fois en mars 1955.
Montrant ses qualités supersoniques, l'Armée de l'Air passa un ordre de production pour une version de série appelée Super Mystère B2 motorisé avec un turboréacteur SNECMA 101G, remplaçant la livraison prévue de Mystère IV B commandés en 1954. La production commença en mars 1956, le premier Super-Mystère B.2 de série pris l'air en février 1957 tandis que les livraisons à l'armée de l'Air débutaient quelques mois plus tard. Ces appareils entrèrent en service au sein de la 10ème escadre de chasse en mai 1958.
Le Super-Mystère se différenciait du Mystère IV par une nouvelle voilure au profil plus mince et à la flèche accentuée inspirée du chasseur-bombardier North American F-100 Super Sabre. Il disposait également d’un empennage plus largement dimensionné, d’une prise d'air ovoïde et d’une visibilité améliorée pour le pilote.
L’arment était conséquent avec deux canons DEFA de 30 mm, un conteneur de 35 roquettes de 68 mm logé à l'intérieur de la structure (dispositif qui fut très vite abandonné) et une capacité de charges extérieures pouvant comprendre 2 missiles Sidewinder, 2 bombes de 400 à 500 kg et de pods lance-roquettes. Il était également rapide car il fut le premier appareil de série produit en Europe de l'Ouest à passer le mur du son en vol horizontal en mars 1955.
Les SMB2 français accomplirent quelques missions de guerre pendant le conflit algérien. Quelques Super-Mystère B.2 restèrent en service dans l’armée de l’Air française jusqu’en novembre 1977, la plupart ayant été remplacé par des Mirage F1.
Prévue initialement pour 370 exemplaires, la production totale atteignit 180 exemplaires, dont 24 Super-Mystère B 2 pris en compte par l’armée de l’air israélienne en 1958 et désignés Sambad (prononciation en hébreu de "SMBD"), puis officiellement renommés Sa'ar (Tempête). Ces derniers participèrent aux guerres des Six-Jours en 1967 et du Kippour en 1973. En 1977, 21 exemplaires d'occasion israéliens, précédemment remotorisés avec des réacteurs Pratt & Whitney J52-P-8A sans postcombustion par IAI, furent revendus au Honduras où ils restèrent en service jusqu’en janvier 1996.
Dassault développa un prototype dérivé du B2 et baptisé B4, motorisé par un SNECMA Atar 09C de 6000 kg de poussée. Ce prototype fut abandonné en faveur du Mirage III bien plus prometteur. |
Données techniques Moteur : 1 turboréacteur Snecma Atar 101G-2 ou 101G-3 avec PC de 4460 kgp Vitesse maximale : 1195 km/h Distance franchissable : 870 km Envergure : 10,52 m Longueur : 14,13 m Armement : 2 canons de 30 mm, roquettes, bombes Premier vol : 02 mars 1955 Production : 180 appareils
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Reproduction Maquette AIRFIX, réf. 4031 Envergure : 145 mm soit 10,44 m en réel Longueur : 192 mm soit 13,82 m en réel
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SNCASO SO 9050 Trident II
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Données techniques Moteur : 2 réacteurs MD-30 ASV 5 de 745 kgp et 2 moterus fusées SEPR 631 de 1500 kgp chacun Vitesse maximale : 2350 km/h Plafond : 24000 m Envergure : 6,98 m Longueur : 12,70 m Armement : radar d'interception; engin air-air Matra R 511 Premier vol : 19 juillet 1955 Production : 8 appareils
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Reproduction Maquette MACH 2
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DASSAULT Etendard IV M |
Historique Le Dassault Etendard fut conçu en vue de participer à la compétition organisée en 1955 par l'OTAN, relative à un chasseur d'attaque capable d'opérer à partir de pistes sommairement aménagées. La société Dassault met alors au point trois avions : le Mystère XXII, non retenu pour participer, le Mystère XXIV équipé d’un Snecma Atar 101 E3 et qui devient Etendard IV, enfin le Mystère XXIV équipé d’un Bristol Orphéus 03 et devenu Etendard VI. Ces deux appareils, tout comme le Bréguet Br.1001 Taon ne sont pas retenus par l'OTAN au profit du Fiat G.91. Toutefois l'Etendard IV attire l'attention de la Marine Nationale qui souhaite une version navalisée, un appareil embarqué d’assaut et de chasse à basse altitude pour ses porte-avions Foch et Clemenceau.
Ce nouveau chasseur embarqué fait l'objet de modifications portant notamment sur l'installation d'un réacteur Atar 8, d’un fuselage redessiné et d’une augmentation de la surface de la voilure pour compenser l'augmentation du poids. Les dispositifs hypersustentateurs sont également améliorés. Sa structure est renforcée pour le catapultage et l'appontage. Le nez de l'avion est agrandi pour l'utilisation d'un radar et reçoit une perche escamotable pour le ravitaillement en vol. Les extrémités des ailes sont repliables.
Le premier Étendard IV M vole en mai 1958 et 5 avions de présérie sont réalisés. Il commença à entrer en service dans l'Aéronavale en 1961. Les performances et capacité d’emport de charges extérieures font de l’Étendard IV M un excellent avion d’assaut, utilisable en mission secondaire à l’interception et au combat aérien, caractéristiques imposées par la Marine nationale. Cet appareil à ailes en flèche, train d'atterrissage renforcé et nez effilé, fut construit à raison de 69 exemplaires pour le compte de l'aéronavale. Quelques Etendard IVM furent dotés de missiles, d'un radar Aïda et d'un calculateur de bombardement SAAB.
Celle-ci passe commande de 21 appareils en version reconnaissance photographique, désigné Étendard IV P. Commandé en septembre 1959, le prototype de l’ Étendard IV P effectue son premier vol en novembre 1960. Cette version emporte cinq caméras OMERA dans le nez du fuselage tandis que la soute ventrale peut également être équipée de caméras de grande focale à la place des canons. Elle possède une perche de ravitaillement en vol non rétractable.
Pour la première fois de son histoire et grâce à l’Étendard, la Marine nationale accède aux vitesses transsoniques. Il équipa les base aéronavale de Landivisiau et de Hyères. Ils furent remplacés à mesure de l'arrivée des Super-Étendard à partir de 1978. Les Étendard IV M resteront en service actif jusqu’en juillet 1991, tandis que les Étendard IV P furent utilisés jusqu’en 27 juillet 2000. |
Données techniques Moteur : 1 réacteur Snecma Atar 8B ou C développant 4500 kgp à sec Vitesse maximale : 1250 km/h Distance franchissable : 1660 km Plafond : 13750 m Masse à vide : 5800 kg Masse au décollage : 10440 kg Envergure : 9,60 m Longueur : 14,35 m Hauteur : 3,85 m Armement : 2 canons DEFA de 30 mm avec 122 obus chacun; missiles air-air; bombes, missiles air-mer; lance-roquettes Premier vol : 21 mai 1958 Production : 90 appareils
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Reproduction Maquette HELLER, réf. 80361 Envergure : 133 mm soit 9,58 m en réel Longueur : 195 mm soit 14,04 m en réel
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AEROSPATIALE SA 316 B Alouette II |
Données techniques Moteur : 1 turbomoteur Turboméca Artouste III B de 870 ch Vitesse maximale : 185 km/h Distance franchissable : 540 km Plafond : 3200 m Envergure : 11,02 m Longueur : 12,84 m Hauteur : 3,00 m Armement : 1 mitrailleuse AA 52 de 7,62 mm en sabord ou 1 canon de 20 mm; 4 missiles AS11 ou 2 AS12; 2 torpilles Mk44 à tête chercheuse et un magnétomètre Crouzet en version de lutte anti-sous-marine Premier vol : 28 février 1959 Production : 1453 appareils
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Reproduction Maquette HELLER, réf. 80286 Envergure : 133 mm soit 9,58 m en réel Longueur : 178 mm soit 12,82 m en réel
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DASSAULT Mirage F-1 CR |
Historique Sans beaucoup de points communs avec les Mirage à ailes delta , sinon un même bureau d'étude, le Mirage F1 fut conçu comme un chasseur polyvalent. Sa version F1 C optimisée pour les missions tous temps de supériorité aérienne, n'emportant pas d'armement air-sol, était dans les années 80 le principal instrument de la défense aérienne en France, mais elle a aussi été exportée comme chasseur de supériorité et chasseur bombardier (F1 E), comme avion d'attaque avec un équipement simplifié (F1 A) et comme biplace d'entraînement intermédiaire(F1 B). Le Mirage F1 prototype a volé le 23 décembre 1966. Le F1 C fut commandé en 1969 et le premier F1 C de série vola le 15 février 1973, les livraisons commençant au 2/30 de l'Armée de l'Air, fin décembre. A la mi-1981, environ 450 F1 avaient été livrés à l'Armée de l'Air et à 10 clients étrangers . Les commandes, majoritairement de l'étranger (Equateur, Grèce, Irak, Jordanie, Libye, Maroc, Quatar, Afrique du Sud, Espagne) furent encore suffisantes pour assurer sa production jusqu'en 1984. Le F1 C-200, modernisation du F1, est doté d'une pipe de ravitaillement en vol ; enfin, le F1 R de reconnaissance entra en service dans l'Armée de l'Air en 1983. La production du Mirage F1 cessa en 1990 pour un total de 731 exemplaires. |
Données techniques Moteur : 1 réacteur Snecma Atar 9K50 développant à sec 5021 kgp et 7205 avec PC Vitesse maximale : 1480 km/h Plafond : 20000 m Masse à vide : 7400 kg Masse au décollage : 16200 kg Envergure : 8,44 m Longueur : 15,33 m Hauteur : 4,49 m Armement : 1 canon DEFA de 30 mm; missiles Matra Magic 550 et Super 530; bombes et roquettes Premier vol : décembre 1966
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Reproduction Maquette HELLER, réf. 80355 Envergure : 130 mm soit 9,36 m en réel Longueur : 210 mm soit 15,12 m en réel
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AEROSPATIALE SA 342 Gazelle |
Données techniques Moteur : 1 turbomoteur Astazou XIVM de 860 ch Vitesse maximale : 280 km/h Plafond : 4000 m Masse au décollage : 2000 kg Longueur : 11,97 m Armement : 6 missiles Hot, 1 panier à roquettes, 1 canon ou 2 mitrailleuses, 2 missiles AS.12 Premier vol : 07 avril 1967
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Reproduction Maquette HELLER
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DASSAULT Falcon 20
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Données techniques Vitesse maximale : 869 km/h Distance franchissable : 4020 km Plafond : 12500 m Masse à vide : 8485 kg Masse au décollage : 13835 kg Envergure : 16,30 m Longueur : 17,14 m Hauteur : 5,20 m Premier vol : 1977
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Reproduction Maquette MACH 2
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DASSAULT Super Etendard |
Historique Conçu à partir de l'Étendard IV, le Super-Étendard effectua son vol initial en octobre 1974 et entra en service en juin 1978. Comparé à l'Étendard, cet appareil se caractérise par un réacteur plus puissant, des dispositifs hypersustentateurs améliorés, une structure renforcée, un système de navigation et d'attaque perfectionné comprenant un radar multimode Agave, un système de navigation inertielle et une nacelle de contre-mesures électroniques. Le Super-Étendard peut être armé du missile antinavire AM.39 Exocet, utilisé au combat par l'Argentine et l'Irak. Sur les 71 machines servant au sein des flottilles 11F, 14F et 17F, une cinquantaine ont été transformées en vue d'emporter le missile nucléaire ASMP. Ces avions ont été dotés d'une nouvelle centrale de navigation inertielle et d'un nouveau radar multimode Anémone. Une version modernisé, avec un cellule modifiée et une avionique mise à jour, vola en octobre 1990. La modernisation de 54 Super-Étendard débuta en 1992 et porte ainsi la fin de service du Super-Étendard à 2008. |
Données techniques Moteur : 1 réacteur Snecma Atar 8K50 de 5000 kgp Vitesse maximale : 1200 km/h Masse à vide : 6450 kg Masse au décollage : 12000 kg Envergure : 9,60 m Longueur : 14,31 m Hauteur : 3,85 m Armement : 2 canons DEFA 152 de 30 mm (2 * 125 coups); 2 missiles air-air Matra Magic; 6 bombes de 250 kg ou 4 bombes de 400 kg; 4 lance-roquettes LR 150 (4 * 18 roquettes de 58 mm); 1 missile air-mer Exocet 39; 1 missile nucléaire ASMP Premier vol : 24 décembre 1977
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Reproduction Maquette HELLER, réf. 80360 Envergure : 133 mm soit 9,58 m en réel Longueur : 198 mm soit 14,26 m en réel
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AEROSPATIALE SA 365N Dauphin 2
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Données techniques Moteur : 2 turbines Turboméca Arriel 1C de 735 ch Vitesse maximale : 315 km/h Distance franchissable : 870 km Plafond : 2150 m Masse à vide : 2205 kg Masse au décollage : 3600 kg Envergure : 11,93 m Longueur : 13,74 m Hauteur : 3,99 m Premier vol : 1978
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Reproduction Maquette MATCHBOX, réf. PK-38
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DASSAULT Mirage 2000 N |
Historique Le Mirage 2000 présente des similitudes apparentes avec les Mirage III et V - voilure delta et configuration monomoteur - mais c'est un appareil entièrement nouveau. Doté de petits plans canards et de commandes de vol électriques, il fait preuve d'une bonne maniabilité, et son radar Doppler à impulsions est performant. Conçu au départ uniquement pour la supériorité aérienne, le Mirage 2000 a été modernisé et rendu plus polyvalent grâce à des versions améliorées successives. La version N, biplace, a pour mission la pénétration nucléaire à basse altitude et grande vitesse, la version D est prévue pour l'attaque tous temps et la version E est destinée à l'export.
Quant au tout dernier, le Mirage 2000-5, il est beaucoup plus polyvalent que les premières versions et sa technologie récente en fait presque un avion de la 4ème génération. Le Mirage 2000-5 est capable d'effectuer notamment des missions de défense aérienne, de frappes air-sol avec armements conventionnels et armements de précision, de frappes en profondeur avec missiles tirés à distance de sécurité... Le Mirage 2000-9, dont plusieurs dizaines d'exemplaires ont été commandés par les Emirats arabes unis, est une version dérivée du Mirage 2000-5 Mk.2. A l'heure actuelle, plus de 530 Mirage 2000 toutes variantes confondues ont été produits. |
Données techniques Moteur : 1 réacteur Snecma M-53-P2 développant 6560 kgp à sec et 9700 kgp avec PC Distance franchissable : 3335 km Plafond : 18000 m Masse à vide : 7600 kg Masse au décollage : 17000 kg Envergure : 9,13 m Longueur : 14,55 m Hauteur : 5,15 m Armement : 2 canons DEFA 554 de 30 mm et 250 obus; missiles air-air Magic; bombes de 250 kg et/ou de 1000 kg, etc... Premier vol : 03 février 1983
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Reproduction Maquette HELLER, réf. 80356 Envergure : 127 mm soit 9,14 m en réel Longueur : 208 mm soit 14,98 m en réel
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DASSAULT Rafale A
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Données techniques Moteur : 2 réacteurs General Electric F404-GE-400 de 7257 kgp avec PC Vitesse maximale à 10000 m : 2450 km/h Distance franchissable : 1800 km Plafond : 9145 m Masse à vide : 9500 kg Masse au décollage : 20000 kg Envergure : 11,20 m Longueur : 15,80 m Hauteur : 5,18 m Armement : 1 canon DEFA de 30 mm et des missiles Matra Magic Premier vol : 04 juillet 1986 Production : 1 appareils
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Reproduction Maquette HELLER, réf. 80320 Envergure : 155 mm soit 11,16 m en réel Longueur : 219 mm soit 15,77 m en réel
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DASSAULT Rafale C
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Données techniques Premier vol : 1992
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Reproduction Maquette ITALERI
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